La race est surnommée « American gentleman » (« Gentilhomme américain ») en raison de ses origines purement américaines et de son caractère agréable.
Vers 1870, un certain William O'Brien, de Boston, vendit un chien importé appelé « Judge » à un nommé Robert C. Hooper, lui aussi bostonien. Ce chien, connu sous le nom de « Hooper's Judge », fut accouplé à une chienne de type Bull et de couleur blanche appartenant à Edward Burnett, et nommée « Gyp » (ou « Kate »). Ce croisement produisit, en particulier, un individu surnommé « Well's Elph », qui fut avec « Hooper's Judge » l'ancêtre de pratiquement tous les terriers de Boston modernes.
Les descendants des premiers spécimens furent sans doute croisés avec le bouledogue français, ce qui fit diminuer le gabarit de la race, dont le poids initial pouvait atteindre une vingtaine de kilos.
En 1889, une trentaine d'amateurs des environs de Boston organisèrent l'American Bull Terrier Club. Ils y exposaient des chiens connus sous le nom de « Round Heads » (têtes rondes), « Boston Bulls » ou, parfois, « Boston Bull Terriers ». L'usage du terme « Bull » et les confusions qu'il pouvait entraîner finirent par irriter les amateurs de bouledogues et de Bull Terriers, tandis que les instances officielles, qui doutaient de la stabilité de cette nouvelle race, hésitaient encore à la reconnaître officiellement. Les amateurs ne s'en formalisèrent pas et, en 1891, créèrent malgré tout le Boston Terrier Club of America. L'American Kennel Club(AKC) reconnût finalement la race en 1893. Ce fut de fait la première race autochtone reconnue par l'AKC.
À un certain point dans les années 1920, le terrier de Boston était tellement populaire aux États-Unis qu'il représentait de 20 à 30 % des chiens présentés en concours.
L'introduction du terrier de Boston en France remonte à 1927.
Vers 1870, un certain William O'Brien, de Boston, vendit un chien importé appelé « Judge » à un nommé Robert C. Hooper, lui aussi bostonien. Ce chien, connu sous le nom de « Hooper's Judge », fut accouplé à une chienne de type Bull et de couleur blanche appartenant à Edward Burnett, et nommée « Gyp » (ou « Kate »). Ce croisement produisit, en particulier, un individu surnommé « Well's Elph », qui fut avec « Hooper's Judge » l'ancêtre de pratiquement tous les terriers de Boston modernes.
Les descendants des premiers spécimens furent sans doute croisés avec le bouledogue français, ce qui fit diminuer le gabarit de la race, dont le poids initial pouvait atteindre une vingtaine de kilos.
En 1889, une trentaine d'amateurs des environs de Boston organisèrent l'American Bull Terrier Club. Ils y exposaient des chiens connus sous le nom de « Round Heads » (têtes rondes), « Boston Bulls » ou, parfois, « Boston Bull Terriers ». L'usage du terme « Bull » et les confusions qu'il pouvait entraîner finirent par irriter les amateurs de bouledogues et de Bull Terriers, tandis que les instances officielles, qui doutaient de la stabilité de cette nouvelle race, hésitaient encore à la reconnaître officiellement. Les amateurs ne s'en formalisèrent pas et, en 1891, créèrent malgré tout le Boston Terrier Club of America. L'American Kennel Club(AKC) reconnût finalement la race en 1893. Ce fut de fait la première race autochtone reconnue par l'AKC.
À un certain point dans les années 1920, le terrier de Boston était tellement populaire aux États-Unis qu'il représentait de 20 à 30 % des chiens présentés en concours.
L'introduction du terrier de Boston en France remonte à 1927.